Le « Plan Étudiants » ou l’obsolescence programmée de la jeunesse

Tribune de Rodrigo Arenas, président de la FCPE de la Seine-Saint-Denis, et Édouard Gaudot, essayiste et ancien professeur d’Histoire-Géographie, publiée le 01 novembre 2017 sur le Bondyblog

Avec les dernières propositions du gouvernement pour l’Éducation supérieure, difficile de ne pas avoir le sentiment d’être parti pour un Retour vers le Futur. Car les réformes ont toutes une histoire. Endormies quelques années sur l’étagère inaccessible d’une bibliothèque ministérielle, enfouies dans les tiroirs de la bureaucratie ou coincées dans les tuyaux d’une administration où la prudence est garantie de longévité, les réformes viennent toujours de quelque part. Et là, à quelques nuances près, le “Plan Étudiants” du gouvernement évoque fortement la fameuse loi Devaquet qui fit descendre dans les rues des centaines de milliers d’étudiants… en 1986.

Bien sûr, l’ancien s’adapte aux nouveaux temps. Certes, la présentation change, mais la recette demeure. Ainsi, comme il y a 30 ans, l’objectif reste d’organiser la sélection des étudiants au plus près de l’idée qu’on se fait des besoins du marché du travail – ce que le jargon ministériel appelle à tort et à travers, “l’employabilité”. Mais, nouveauté perverse, ce n’est plus à l’université mais au lycée que le gouvernement s’imagine mettre en place ce processus.

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Sectorisation collèges : AG enseignants-parents mercredi 8 novembre

Suite au premier comité de pilotage concernant la sectorisation du futur 10e collège, qui s’est (enfin) tenu le 6 novembre en présence de représentants des conseils d’administration de 6 collèges montreuillois et de 2 collèges bagnoletais, des UCL des deux villes, du conseil départemental, des villes et de la DSDEN,

une réunion d’information et d’échange entre parents et enseignants autour des scenarii proposés pour cette re-sectorisation des collèges est organisée

Mercredi 8 novembre à 18h

à la Bourse du travail, 263 rue de Paris, Montreuil (M° Croix de Chavaux)

 

Appel du Collectif des Associations Citoyennes et mobilisation le 10 novembre

Nous relayons, et soutenons entièrement, l’appel du Collectif des Associations Citoyennes à une nouvelle journée de mobilisation le 10 novembre.

Nous informerons sur les manifestations prévues à Montreuil, dont celle organisée par le Conseil de la Vie Associative _ l’UCL-FCPE en fait partie.

 

Avec une violence inouïe, le gouvernement vient de décider la suppression de 150 000 emplois aidés dès 2017, et 110 000 supplémentaires en 2018. Compte tenu de la fragilité des associations, beaucoup déboucheront sur des licenciements. Cet immense plan social a été décidé sans aucune concertation et dans une approche strictement comptable. Il témoigne d’une ignorance et d’un mépris de la société civile, qui semble pour le gouvernement se réduire aux start-up et aux entrepreneurs sociaux. Cette décision est catastrophique pour des dizaines, et bientôt des centaines de milliers de salarié.e.s privés d’emploi, pour des milliers de collectivités incapables d’assurer la continuité du service public, pour la survie de milliers d’associations et pour les populations aidées. C’est une atteinte grave à la dignité des personnes, à l’accès au droit, à la solidarité, aux pratiques culturelles, sportives et éducatives, au vivre ensemble.

Les associations ne se définissent pas seulement par un « modèle économique », mais aussi par un modèle social, démocratique, humain fait d’émancipation, de respect des droits fondamentaux, d’égalité, mais aussi de coopération, de générosité. L’innovation sociale, ce n’est pas l’ubéralisation de la société, mais l’invention sans cesse renouvelée de réponses sur le terrain aux besoins des habitant.e.s et aux aspirations des citoyen.ne.s dans la fraternité. Le retour au XIXe siècle qu’on nous propose est archaïque et invivable.

C’est pourquoi les organisations et les citoyens signataires demandent :

  • un moratoire sur la suppression des emplois aidés en 2017-2018, c’est-à-dire de nouvelles instructions à Pôle emploi et aux services déconcentrés de l’État pour renouveler les contrats aidés sur la base des critères de début 2017, sans se limiter à des aménagements à la marge en fonction des protestations ;
  • une étude d’impact sérieuse et contradictoire de l’évolution des financements publics aux associations, de leurs effets sur la vie citoyenne et les territoires, sur les actions réalisées par les associations au service de l’intérêt général et sur les conditions d’emploi dégradées des salarié.es associatifs ;
  • la mise en place dès le budget 2018 d’une ligne budgétaire dotée de 800 millions d’euros supplémentaire et son attribution déconcentrée aux associations contribuant à l’intérêt général qui en ont le plus besoin1, employeuses ou non, afin de permettre à ces associations d’assurer la continuité des missions indispensables qu’elles remplissent au service de la société ;
  • l’ouverture d’une négociation sur l’emploi associatif, afin que les associations puissent, pour leurs missions permanentes au service de l’intérêt général, rémunérer correctement leurs salarié.e.s de façon stable à travers des CDI, tout en maintenant un dispositif adapté de retour à l’emploi.

Ils appellent tous les citoyens et toutes les associations à :

  • Alerter leurs parlementaires, qui vont débattre du budget 2018 au mois de novembre, en les rencontrant en octobre, en leur écrivant, avec les syndicats de salarié.e.s, et chaque fois que c’est possible, avec des collectivités locales citoyennes qui partagent les mêmes préoccupations ;
  • Faire du mercredi 18 octobre puis autour du vendredi 10 novembre, des journées noires pour les associations partout en France, sous la forme de leur choix, en s’habillant de noir pour symboliser leur mort programmée, en portant un brassard « en grève », ou par toute autre action symbolique, festive, protestatrice…

 

1 Correspondant à 5% du montant des subventions publiques aux associations. Emmanuel Macron lui-même semble indiquer dans ses déclarations au Point que les tâches réalisées par les associations à travers les emplois aidés sont nécessaires, mais devraient être financées par des subventions.

2 Beaucoup commencent à le faire, en Auvergne-Rhône Alpes, Cornouaille, Rennes, Nantes, Ile de France, Creuse, Saint-Denis, etc.

NB: Voir l’appel du CAC La société civile, c’est nous !!!

 

Vous pouvez signer la pétition : http://cac.plansocial.odass.org/

Vous trouverez ici la déclaration de la Majorité Municipale sur le sujet :

Déclaration_Majorite_Montreuil_Mouvement_Associatif 18102017

Déclaration commune sur le chantier Bac/lycée au CSE du 19 octobre 2017

Signataires : A&I UNSA, CRAP Cahiers pédagogiques, Education et Devenir, FAGE, FCPE, FEP-CFDT, SE-UNSA, SGEN CFDT, SGL, SIEN-UNSA, UNEF, UNL, UNSA EDUCATION.

Monsieur le Ministre,

Le premier ministre a annoncé en juillet qu’une « concertation » serait lancée sur le baccalauréat à la rentrée de septembre. Celle-ci doit aboutir « avant septembre 2018, pour une mise en œuvre complète de cette réforme pour le bac 2021 ».  Le projet serait de « resserrer les épreuves finales autour d’un plus petit nombre de matières et de définir ce qui relève du contrôle continu ».  » Vous-même avez déclaré vouloir « remuscler ce baccalauréat pour lui donner plus de sens et pour le rendre plus utile » et faire évoluer « les programmes du lycée, pour être cohérents avec la réforme du baccalauréat. »

Nos organisations se réjouissent de l’ouverture du chantier « baccalauréat et lycée », même si elles regrettent que vous y entriez par la porte la plus étroite, celle du nombre d’épreuves terminales du baccalauréat, de son organisation et surtout sans questionner les voies et les séries qui sont socialement ségrégatives. Elles auront des propositions constructives à faire pour que le lycée évolue de manière à permettre à tous les jeunes de gagner en autonomie et d’élaborer progressivement leur projet de formation et d’insertion professionnelle, sans oublier que le lycée doit participer à la formation citoyenne et à l’émancipation des jeunes.

Elles demandent que ce chantier :

1)     Inclue les trois actuelles voies du lycée, voies générale, technologique et professionnelle, pour tendre vers un lycée sans filière favorisant les mixités ;

2)     S’inscrive dans la logique bac-3/bac+3 : ce travail doit associer le MESRI, contrairement au chantier sur les attendus à l’entrée dans le supérieur qui ne fait pas toute sa place au bac-3 ;

3)     Concrétise la notion de parcours structuré en modules communs pour certains, choisis pour d’autres. Cela nécessite de développer l’accompagnement pour que chaque jeune puisse élaborer un parcours cohérent et porteur de réussite, validé par un baccalauréat, diplôme national, donnant accès à l’enseignement supérieur et éventuellement à une insertion professionnelle directe selon les modules choisis par le jeune.

4)     Travaille sur l’accompagnement du lycéen dans la construction de son parcours Avenir et de son parcours Citoyen, ce qui nécessite un volume horaire spécifique et des moyens humains identifiés et suffisants ;

5)     Permette de repenser le temps dans l’établissement, selon les besoins des jeunes et des personnels pour faire du lycée un véritable lieu de vie et « désintensifier » le travail

6)     Fasse l’objet d’une véritable concertation avec une méthode et un calendrier négocié.

Nous demandons enfin que la démarche fasse une large place à l’implication de tous les acteurs de la communauté éducative. L’accompagnement et le développement professionnel continu seront indispensables pour mener à bien les évolutions nécessaires.

 

Vous trouverez ici la Déclaration commune sur le Diplôme National du Brevet au même Conseil Supérieur de l’Education du 19 octobre 2017

Déclaration commune CSE_Diplôme National du Brevet_ 19_10_2017

Conseil Supérieur de l’Education du 19 octobre 2017 : Déclaration liminaire de la FCPE

Monsieur le Ministre, Mr le Président,

Mesdames, Messieurs les membres du CSE,

La rentrée scolaire est maintenant derrière nous et les problèmes que nous avions vu poindre en septembre se sont révélés. Des mesures sont décidées et appliquées dans l’urgence, sans évaluation et sans dialogue ni au CSE ni avec le terrain. La suppression de nombreux contrats aidés en est un parfait exemple et touche durablement l’école. La FCPE a toujours dénoncé ces contrats précaires et milite pour que ces personnels, indispensables à la vie de l’école, soient pérennisés. Le gouvernement a fait le choix de l’économie à court terme, et cela se paye tous les jours dans les établissements. Ici l’administratif qui s’entasse, là une cantine scolaire qui ne fonctionne plus faute de surveillance. Voilà la réalité de la suppression de ces contrats.

Le passage aux 4 jours dans certaines communes, dans la précipitation et sans concertation, est là aussi l’exemple de changements à marche forcée sans qu’aucune étude d’impact n’ait d’ailleurs été menée. Au contraire, les études qui existent déjà montrent qu’adapter le temps scolaire aux besoins des élèves est favorable aux apprentissages. Ils sont nombreux à être privés d’une matinée de classe alors que c’est le meilleur moment pour apprendre. Si la FCPE demande à ce que les 5 matinées soient sanctuarisées, c’est parce que c’est bon pour les enfants, quel que soit le territoire. Donner la liberté aux communes sur ce point, c’est faire le choix de sacrifier l’intérêt des enfants et considérer que leurs besoins ne sont pas prioritaires.

Déjà en fin d’année dernière, nous dénoncions les pressions exercées sur les conseils d’écoles. Et que constatons-nous cette année ? La même chose ! Les élections de parents d’élèves sont à peine terminées et des convocations ne respectant pas le délai légal arrivent déjà, avec comme seul  ordre du jour un débat sur la semaine de 4 jours ou de 4,5 jours. D’autres conseils d’école sont convoqués avant même le lancement des consultations des mairies sur les rythmes scolaires, certes non obligatoires mais pour autant participatives. Comment faire vivre la démocratie scolaire quand les instances de consultations sont instrumentalisées ? La FCPE ne laissera pas faire ce genre de pratique et attend du ministère de l’Éducation nationale qu’un rappel soit fait des textes en vigueur.

Enfin, la question des rythmes ne se limite pas à  l’organisation de la semaine, mais inclut l’organisation de l’année scolaire. Le travail sur le calendrier scolaire est pour l’instant à l’arrêt, malgré les annonces faites en fin d’année lors du vote du calendrier scolaire 2018/2019. Pourtant, c’est l’enjeu de demain, qu’il faut préparer aujourd’hui : nous demandons au ministère que ce chantier soit ouvert dès à présent.

Aujourd’hui, nous allons discuter d’un texte qui illustre, de nouveau, le manque de concertation du ministère : celui du brevet des collèges. Pour la FCPE, c’est le retour à un examen sanction qui va renvoyer les élèves seuls face à leur échec. D’autant que rien n’est fait au lycée pour que les élèves qui ne maîtrisent pas le socle puissent poursuivre son acquisition pourtant présentée comme indispensable. Bien évidemment il ne s’agit pas de donner le brevet sans exigence mais de se donner les moyens d’aller au bout de la logique du socle commun plutôt que d’y renoncer. Garantir à chaque jeune à l’issue de sa scolarité obligatoire l’acquisition d’un bagage suffisant pour réussir sa poursuite d’étude, sa future vie professionnelle et de citoyen est un des objectifs de la loi de refondation de l’école, sur lequel vous revenez Monsieur le ministre.

Et que dire de la consultation sur l’enseignement supérieur où l’exécutif n’a comme ambition que de réduire la liberté d’accès à l’enseignement supérieur ? Aucun projet alternatif n’a pu être débattu alors qu’il faudrait s’attaquer à l’orientation et mettre les élèves au cœur du système, sans oublier d’augmenter les moyens. Nous avons une jeunesse de plus en plus nombreuse et désireuse de se former. C’est une chance et il nous faut la saisir plutôt que de renforcer l’organisation rigide de notre système éducatif où le destin scolaire est scellé très tôt. Comment imaginer que des élèves que l’on a mis sans qu’ils en soient d’accord dans des filières au lycée, puis dans l’enseignement supérieur, puissent mieux réussir ?  L’orientation subie est une cause d’échec qui sera renforcée avec le projet des pré-requis à l’entrée de l’université. Nous voulons au contraire ouvrir les perspectives de tous les élèves et leur donner les moyens de réussir. Une réforme du lycée ambitieuse est nécessaire pour cela.

Merci pour votre écoute.

Conseils d’école : les convocations irrégulières, ça suffit !

Communiqué de Presse de la FCPE nationale, du 18 octobre 2017

Les élections scolaires sont à peine terminées, les parents tout juste élus dans leur prise de mandat que déjà fleurissent, sur tout le territoire, des convocations qui ne respectent pas le délai légal pour une organisation dans les règles des conseils d’école…. Et comme par hasard, un ordre du jour qui mentionne un débat sur la semaine de 4 jours ou de 4,5 jours.

D’autres conseils d’école – extraordinaires – sont convoqués avant même le lancement des consultations des mairies sur les
rythmes scolaires, certes non obligatoires mais pour autant participatifs…

La FCPE ne laissera pas passer l’instrumentalisation de cette instance dans laquelle les parents d’élèves ont voix au chapitre. Déjà, dans certains départements, les parents d’élèves FCPE ont tapé du poing sur la table, textes à l’appui. Des actions qui ont permis le report de ces conseils d’école après les vacances.
Pour tout conseil école, extraordinaire ou non, une convocation avec ordre du jour doit être envoyée huit jours au moins avant la date de tenue de la séance. Le conseil d’école se réunit une fois par trimestre, et obligatoirement dans les 15 jours suivant les élections, déduction faite des jours de congés scolaires.

Aujourd’hui, au vu des délais impartis, il est difficile de respecter les délais de 8 jours de convocation avant les vacances d’automne, les élections ayant eu lieu la semaine passée.

La FCPE attend du ministère de l’Éducation nationale un rappel des textes en vigueur. Respecter les parents d’élèves est la première des conditions pour bâtir une école de la confiance. A moins que derrière le slogan ne se cache qu’une coquille vide ?

Les lycées du 93 ont besoin de moyens !!

Les lycées de Seine-Saint-Denis débordent ; les personnels non enseignants et les professeurs ne sont pas en nombre suffisant _ et la suppression annoncée des contrats aidés (surveillants, agents d’entretien, aides administratives…) ne fait que renforcer la pénurie ; les bâtiments sont trop souvent vétustes ou inadaptés…

Grèves des enseignants, blocages des lycéens, interpellations des pouvoirs publics par les parents : la mobilisation s’amplifie dans tout le département.

Vous trouverez ici la Lettre Ouverte Intersyndicale Lycées 93 à Mme Pécresse 28 sept 2017

 

A Montreuil, au lycée Jean Jaures, les représentants syndicaux SNES-SNEP-FSU ont présenté la motion suivante, adoptée en CA du 26 septembre 2017 : 

Des classes de 1èreSTMG et 1ère ES très chargées sans qu’aucun moyen supplémentaire n’ait été donné pour répondre aux difficultés d’élèves pour beaucoup fragiles, précipités en première par le décret n°2014-1337 qui a rendu le redoublement exceptionnel , des lycéens de Montreuil affectés dans des communes très éloignées faute de place , des enseignants non remplacés depuis la rentrée (ex en allemand et histoire-géographie) : près de 3 semaines après la rentrée le bilan n’est guère positif.

Aussi , le conseil d’administration du lycée Jean Jaurès dénonce cette situation. Elle est liée au manque d’anticipation des services de l’État et de la Région face aux conséquences de la poussée démographique que connaît notre département et particulièrement la commune de Montreuil.

Il demande que les élèves de Montreuil non affectés dans les lycées de la commune soient affectés au plus proche de leur domicile, qu’une classe de première ES et une classe de 1ère STMG nécessaires soient créées dans le secteur. Enfin, pour répondre aux besoins immédiats des élèves, nous demandons à nouveau les moyens dont certains ont été réclamés lors de notre dernière audience au Rectorat en avril dernier.

Oppera joue dimanche 26 novembre à la mairie

Concert Salle des Fêtes de l’Hôtel-de-Ville

Dimanche 26 novembre à 16h

Au programme : « Pierre et le Loup » (S. Prokofiev) et musiques de dessins animés

Oppera cherche toujours des collégiens, lycéens et parents d’élèves musiciens : recrutement-oppera

Créé en juin 2012, l’Orchestre des Personnels des Parents et des Elèves Réunis en Association (OPPERA) réunit actuellement 50 musicien.n.e.s, sous la direction musicale de Mathieu Braud. Il accueille sans cesse de nouveaux instrumentistes, désireux de jouer en ensemble symphonique (répétition le jeudi de 19h30 à 21h30).

Depuis sa création, l’OPPERA c’est :

  • 6000 personnes (élèves, parents d’élèves, résidents des foyers, habitants des quartiers).
  • 50 concerts notamment à Montreuil dans des établissements scolaires, dans les quartiers, pour des associations et des municipalités,
  • 30 œuvres jouées,
  • Participation à la Voie est Libre, édition 2015 (Montreuil) et au Festival « Ta Parole », édition 2016 (Montreuil),
  • Concert d’ouverture du Théâtre de la Girandole lors de la transhumance vers le Théâtre de Verdure (mai 2017),
  • Des solistes invités,
  • Des créations et des collaborations,

Subventionné par la Mairie de Montreuil et suivi par la DAAC de l’Académie de Créteil, l’orchestre est en résidence à la Cité Scolaire de Jean Jaurès à Montreuil, où il se réunit et effectue ses répétitions

Prochaine date :

 

Dimanche 26 novembre : Concert à la salle des fêtes de la mairie de Montreuil sur un Programme : Pierre et le Loup de Prokofiev et Medley de musique de dessin animé (16h)

https://opperaorchestresymphonique.wordpress.com/